Nos tops 15… des curiosités

Comme nous sommes régulièrement en mode de planification de voyages et que par conséquent nous avons le nez dans les livres, les blogues, les applications et les cartes, nous nous remémorons souvent des souvenirs de voyages. Nous repensons à certains endroits que nous avons vus et qui nous ont émus, parfois jusqu’aux larmes, à des lieux que nous avons visités loin des sentiers battus, à des paysages qui nous ont fait frissonner par leur grande beauté, à des endroits où nous avons particulièrement bien mangé ou à des choses qui nous ont déstabilisés et sortis de notre zone de confort. Bref, comme vous tous, nous revivons nos voyages par l’entremise de nos souvenirs qui ressurgissent à cause d’un post dans Facebook, d’un reportage à la télé, etc. 

Poursuivons donc dans la lignée de Nos tops sur une note plus légère cette fois-ci. Ils sont au nombre de 15 et portent sur des choses qui sortent de l’ordinaire qui font parfois sourire, parfois frissonner, mais chose certaine elles ne laissent personne indifférent. Petite précision à propos de l’ordre de présentation, car l’exercice a été plus difficile que pour notre première. Nous étions tous les deux d’accord sur les trois derniers et sur les trois premiers, mais entre ces deux blocs, ça variait. Probablement que ce serait la même chose pour vous si vous aviez à en déterminer le rang, car tout est relatif dans la vie et chacun à un seuil de tolérance propre à sa personne. Mais bon, en fin de compte, l’ordre n’est pas si important. Alors on se lance! Voici donc Nos tops 15… des curiosités.

15

Les peseurs de personnes

Quand on ne trouve pas de travail, on se crée nous-mêmes un emploi. Du moins, c’est ce que nous avons pu constater en Inde, mais aussi à Quito en Équateur. C’est là où la maxime « il n’y a pas de sot métier » prend tout son sens.

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Des jardins flottants

Les jardins flottants – Lac Inle, Myanmar

Long de ses 22 km et habité par plus de 70 000 Inthas (fils du lac), le lac Inlé, situé dans les montagnes de Shan au centre du Myanmar (Birmanie), est au coeur de la vie de ses habitants. Les Inthas, créatifs et ingénieux, y ont créé des jardins flottants.

Ces jardins sont composés de racines extraites des parties les plus profondes du lac. Elles sont rassemblées en nattes pour former d’étroites bandes et ancrées par des piquets de bambous, donnant l’impression que des milliers de bâtons d’allumettes géants émergent du lac. Ces nattes sont recouvertes de terres et les algues sont utilisées comme fertilisant. Ils y cultivent des fruits et des légumes tels la tomate qui domine ainsi que le concombre, la courgette, le haricot vert et le melon.

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Une technique singulière de pêche

Outre ses jardins flottants, le superbe lac Inlé au Myanmar réserve une autre surprise à ses visiteurs, ses fameux pêcheurs.

Ils ont une façon unique dans le monde de ramer. Ils se tiennent debout sur la poupe de la pirogue et enroulent une jambe autour de la pagaie. Cela leur permet de manipuler plus facilement le filet ou le panier avec les deux mains et de voir au-dessus des plantes qui couvrent une grande partie du lac. Il s’agit d’une pratique ancestrale. Ils sont beaux à voir, c’est presque un ballet sur l’eau. Et quand on les voit de loin, on dirait qu’ils marchent sur l’eau.

Aujourd’hui, avec l’invasion touristique et la rareté du poisson dans le lac de plus en plus pollué, les pêcheurs seraient devenus de vrais-faux pêcheurs et qu’ils se feraient payer pour être photographiés. Par conséquent, pour voir de vrais pêcheurs, il faudrait s’aventurer plus loin sur le lac.

Comme notre visite au lac Inle date de 2012, époque très peu touristique car le pays s’ouvrait à peine aux étrangers, ce côté mercantile de la chose n’existait pas. De plus, comme nous sommes restés sur le site quatre bonnes journées, nous avons eu le temps d’arpenter le lac de long en large et dans ses coins les plus reculés. Nous avons vu des dizaines de pêcheurs et jamais on ne nous a demandé de l’argent en échange de photos.

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Une rue spéciale à Hanoï

C’est l’heure du thé entre voisines!

S’il y a bien un endroit inusité à Hanoï au Vietnam, c’est bien « la rue du train ». On y retrouve des résidences, des commerces et des étals. Une rue comme une autre quoi! Et ne pensez pas qu’il s’agit d’une voie désaffectée. Lorsque le train arrive, on retire tout simplement les chaises!

Cela n’est pas sans nous rappeler le Maeklons Railway Market à Bangkok en Thaïlande. Mais contrairement à Hanoï où les gens vivent de chaque côté de la voie ferrée, le marché Maeklong se trouve littéralement sur la voie ferrée. Comme nous n’avons pas de billet sur le sujet, on vous en glisse un p’tit mot et quelques photos pas très bonnes;-(. Le train s’annonce avec quelques coups de sirène, et là en deux temps, trois mouvements, les marchands ramassent toute leur marchandise et les bâches qui les protègent du soleil afin de le laisser passer. Une fois que c’est fait, hop! on remet le tout en place comme si de rien n’était. Il est certain que c’est une attraction très prisée des touristes comme on peut le constater sur les photos, mais dans les faits ce n’est pas un spectacle, c’est une réalité de la vie des Thaïs.

Lire notre billet complet sur Hanoï ici

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Le dentiste-tatoueur de rue!

Une visite chez le dentiste pour un mal de dent ou pour un dentier seconde main ? Il y en a peut-être un qui vous ira à la perfection et tant qu’à y être, pourquoi ne pas en profiter pour vous faire tatouer. Deux services sous la même bannière et en plein air de surcroit, ça peut être pratique ;-).

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Les fils électriques en Asie

Les fils électriques à Katmandou au Népal

On ne veut définitivement pas être électricien dans ces pays. Nous décernons la Palme d’or à Katmandou au Népal.

9

Les tanneurs de Fès

Le Maroc est reconnu pour ses produits d’artisanat en cuir. À Fès, les tanneries se composent de nombreuses cuves en pierre remplies avec toutes sortes de produits plus ou moins toxiques visant à traiter et à teindre les peaux de vaches, de moutons, de chèvres et de chameaux. Les tanneurs y travaillent au soleil, enfoncés jusqu’à la taille, dans ces mélanges douteux, parfois avec des bottes, mais aussi pieds nus.

Grosso modo, le processus est le suivant. Les peaux sont d’abord trempées pendant deux à trois jours dans un mélange d’urine de vache, de chaux vive, d’eau et de sel. Ce mélange caustique contribue à décomposer la résistance du cuir et à détacher l’excès de graisse, de chair et de poils qui sont restés dessus. Après, les tanneurs suppriment à la main les excès de poils et de graisse. Les peaux sont ensuite trempées dans un autre ensemble de cuves contenant un mélange d’eau et d’excréments de pigeons. L’excrément de pigeon contient de l’ammoniaque et agit comme agent adoucissant qui rend les cuirs malléables afin qu’ils puissent absorber le colorant. Les tanneurs malaxent avec leurs pieds les peaux pendant près de trois heures pour obtenir la souplesse désirée.

La dernière étape consiste à placer les peaux dans des fosses de teinture contenant des colorants végétaux naturels, tels que la fleur de pavot (rouge), l’indigo (bleu), le henné (orange), le bois de cèdre (brun), la menthe (vert), et le safran (jaune). D’autres matériaux utilisés pour la teinture comportent de la poudre de grenade qui est frottée sur les peaux pour les rendre plus lâches, et de l’huile d’olive, pour les rendre brillantes.

Une fois que le cuir est teint, il est mis à sécher au soleil puis vendu à d’autres artisans qui fabriquent des babouches, des portefeuilles, des sacs à main, des manteaux, etc. Le processus de tannerie entièrement manuel n’a pas changé depuis l’époque médiévale.

Pour une meilleure vue sur les tanneries, il vous faut accéder aux terrasses environnantes des boutiques de cuir. Il suffit d’entrer dans l’une des boutiques et de demander une visite. Comme les excréments de pigeons et l’urine de vache dégagent une odeur piquante et nauséabonde, on vous proposera un petit bouquet de menthes fraîches pour vous aider à surmonter cet obstacle. Nous vous le conseillons vivement! Évidemment, en retour, on attendra de vous une visite de la boutique et de ses produits finis.

8

Cérémonie de fermeture de la frontière Inde – Pakistan

Autre curiosité, cette fois-ci, à Amritsar en Inde où la parade martiale pour la fermeture de la frontière Inde-Pakistan a lieu tous les soirs à 18 h. La fermeture de la frontière est devenue un événement qui rassemble un grand nombre d’Indiens d’un côté de la clôture et de Pakistanais de l’autre. Avant la cérémonie, un animateur et une musique très forte attisent la ferveur des Indiens qui n’hésitent pas à se lever pour danser. Et c’est la même chose du côté pakistanais. C’est très joyeux! Puis, les soldats entament un défilé qui a pour but de narguer et d’intimider les soldats pakistanais en jouant de la moustache et par des regards provocateurs (voir photo du soldat moustachu). Cela soulève des tonnerres d’applaudissements du public qui scande Hindustan zindabad, Vive l’Inde! Après un court défilé de soldats de part et d’autre au cours duquel a lieu un combat littéralement « de jambes en l’air » 😉 c’est à celui qui la lèvera la plus haute! Alors les portes de la frontière s’ouvrent brièvement pour un échange de saluts et une poignée de main. Les drapeaux sont ensuite abaissés simultanément et pliés, puis les portes se referment d’un coup. La frontière est fermée pour la nuit. Très cool!

Regardez la capsule de l’excellent Thomas Gerbet, journaliste à Radio-Canada intitulée Inde – Pakistan : guerre froide et pop-corn (2017)

7

Les ghats de crémation

Les ghats de crémation au Népal

Tout le monde a entendu parler des ghats de Varanasi en Inde. Ces nombreuses marches qui longent le Gange, le plus sacré des fleuves, permettent aux hindous d’atteindre le fleuve pour s’y submerger afin de se laver de tous leurs péchés et pour faire incinérer leur défunt. Pour nous, Occidentaux, c’est un spectacle surréaliste et hors du temps.

Mais, le plus saisissant quand on se rend sur les ghats de shmashana (crémation), ce sont les bûchers funéraires et les piles de bois. Ce sont des hommes de la basse caste des Doms ou Intouchables qui entretiennent les bûchers. Ils veillent à ce que les feux ne s’éteignent jamais.

« Pour un hindou, être incinéré à Varanasi permet d’atteindre le moksha, c’est-à-dire l’extinction de l’âme, but ultime des croyants, et donc de mettre un terme au cycle des réincarnations ».

Les ghats de crémation les plus connus sont ceux de Varanasi en Inde et de Katmandou au Népal.

6

Les saddhus

Sadhus à Varanasi en Inde

Ha! les sadhus! Ces êtres, si photogéniques, que l’on croise en Inde et dans les pays hindouistes sont des ascètes hindous qui ont renoncé à leur famille et à toute possession matérielle pour se consacrer uniquement à leur quête spirituelle. Très souvent, c’est vers l’âge de 60 ans qu’ils abandonnent tout et pour l’État indien, ils sont considérés comme officiellement morts. Les marques traditionnelles peintes sur leur front et parfois la couleur de leurs vêtements définissent leur allégeance qui va soit à Vishnou soit à Shiva. Mais souvent ils sont généralement peu habillés et certains ne portent aucun vêtement (les naga baba). Les shivaïtes se recouvrent de cendres (symbole de la mort et de la renaissance) et bien sûr, tous mendient et comptent sur la générosité des gens pour se nourrir. Ils seraient environ cinq millions de sadhus en Inde, dont 10 % sont des femmes que l’on appelle sadhvi.

Dans leur quête de l’absolu, plusieurs rituels sont à respecter, notamment la récitation de mantras, la pratique du yoga, la méditation et l’abstinence sexuelle. La consommation de haschich est chose commune et a pour but de faciliter la vie des sadhus parfois très difficile.

Pour en savoir plus sur nos rencontres avec les sadhus, lire nos billets sur l’Inde et sur Katmandou au Népal.

5

Le balut, un met très recherché!

Des douzaines de baluts

Nous savons tous que plus tôt que tard, et pour certains c’est déjà commencé, il faudra intégrer les insectes dans nos menus. C’est une chose un peu difficile à imaginer pour beaucoup d’entre nous, mais pas le cas pour la majorité des populations d’Asie qui ont une longueur d’avance dans ce domaine. D’ailleurs, ce n’est pas une découverte que ces derniers peuvent avoir des habitudes alimentaires assez singulières. Pour notre part, celle qui nous a beaucoup impressionnés outre les insectes, les couleuvres et autres bestioles de ce monde, est de manger le balut. Qu’est-ce que le balut ? C’est une spécialité d’Asie principalement des Philippines, de la Chine, du Vietnam et du Cambodge et c’est tout simplement un œuf de cane, de poule ou de caille, cuit à la vapeur. Mais la particularité est que l’œuf est fécondé et le fœtus déjà formé. On l’aime pour la texture et c’est, paraît-il, très bon avec du jus de citron. Selon celui à qui appartient la bouche sur la photo ci-dessous (qui n’est ni asiatique, ni Jean-Pierre), il est préférable de tout mettre dans la bouche d’un coup pour masquer l’effet gluant lorsque l’on croque les yeux!

4

Le Temple de Karni Mata

L’Inde n’en finit pas de nous surprendre, car elle regorge de curiosités. L’une d’elles se trouve à Bikaner. C’est le temple hindou de Karni Mata ou tout simplement le Temple aux rats. Il est situé dans le Rajasthan à Deshnoke. Pourquoi le Temple aux rats ? Parce que plusieurs milliers de rats y vivent. Ils sont sacrés et traités de la sorte.

Il existe deux légendes à propos de ce temple :

La première « raconte que Laxman, le beau-fils de Karni Mata (ou le fils d’un de ses conteurs), s’est noyé dans un étang à Kapi Sarovar, dans le tehsil de Kolayat, alors qu’il tentait d’en boire l’eau. Karni Mata implore alors à Yama, le dieu de la mort, de le ramener à la vie. Yama refuse dans un premier temps, puis il modère son jugement et permet à Laxman et aux fils de Karni Mata d’être réincarnés en rats. »

La seconde légende compte plusieurs versions qui varient en fonction du folklore local, mais selon l’une d’elles « 20 000 soldats auraient déserté leurs rangs lors d’une bataille et accourus à Deshnoke. Lorsqu’elle apprend leur péché de désertion, punissable de mort, Karni Mata épargne leurs vies, mais les transforme en rats. Elle leur offre le temple comme lieu de séjour. Les soldats de l’armée expriment leur gratitude envers Karni Mata et lui promettent de la servir à tout jamais. » (Wikipedia) 

Pouvoir manger de la nourriture déjà grignotée par l’un de ces rats est considéré comme un honneur et en apercevoir un tout blanc vous apporte la chance assurée. Pour notre part, nous n’avons pas mangé de restants ni aperçu un rat blanc. Pas de veine!

Lire notre billet complet sur l’Inde ici.

3

Les cueilleurs de souffre

Cueilleurs de souffre, Plateau d’Ijen, Indonésie

C’est sur le plateau du volcan d’Ijen, sur l’île de Java en Indonésie, que nous avons regardé des hommes descendre en enfer, c’est le cas de le dire. La particularité de ce volcan est de produire du soufre accessible. Alors, imaginez une description de tâches de travail comme celle-ci! Tous les matins aux alentours de 3 h, les mineurs partent de chez eux (environ 300) pour aller à leur lieu de travail. Ils doivent gravir la montagne sur trois kilomètres, à pied, en traînant avec eux leur chariot sur deux roues pour se rendre sur le plateau du volcan. Ensuite, ils descendent le sentier vers le fond du volcan (plus ou moins 30 minutes), palanque à l’épaule, pour récolter le soufre par grands blocs.

Puis, ils remontent le sentier avec environ 70 kilos de soufre sur les épaules et recommencent, ainsi de suite six heures par jour. La plupart sans aucune autre protection qu’un morceau de coton devant la bouche. Nous pouvons vous dire que ça sent très fort même sur le plateau. Et le travail n’est pas terminé puisqu’il faut ensuite casser les blocs de soufre pour les mettre dans des sacs de toile et redescendre les trois kilomètres avec leur récolte. Tout ça pour obtenir 0,10 cent du kilo. 

C’est dans ces moments qu’on réalise la chance que nous avons d’être nés au bon endroit et au bon moment.

Lire le billet complet ici

2

Les cérémonies des morts des Torojas

Grottes accueillant les cercueils ainsi que de nombreux objets chers aux défunts. Afin de protéger leurs biens, les plus riches construisent des balcons devant les grottes et y placent des tau tau (des statues en bois) à l’image des défunts.

Chez les Torojas à Rantepao, sur l’île de Sulawasi en Indonésie, on a une façon particulière d’honorer les morts et rien n’est trop beau pour leur rendre hommage. 

Originalement animistes, les Torojas sont aujourd’hui principalement de religion catholique. Ils ont cependant conservé certains rites ancestraux tels que celui d’embaumer les défunts et de les garder dans leur lit jusqu’à ce que la famille ait ramassé suffisamment d’argent pour organiser la cérémonie funéraire. Le temps que ça prend n’a pas d’importance puisque, pendant cette période, le défunt est considéré comme malade. On lui parle, il a sa place pour les repas, etc. La relation des Torajas avec la mort est à mille lieues de notre réalité. On ne porte pas de jugement, mais c’est un peu glauque, non ?

Les cérémonies funéraires peuvent durer de trois à cinq jours et accueillir des centaines voire des milliers de personnes, selon la richesse de la famille. Mais peu importe la grandeur de la cérémonie, cela coûte une fortune et les célébrations sont heureuses et joyeuses afin d’accompagner le défunt dans l’autre vie. Croyez-nous, ils s’y passent des choses plus que hors du commun. 

Ce n’est qu’un exemple, mais voyez la vidéo dans laquelle les jeunes gens promènent les cercueils autour du village. Promenade qui a duré plus d’une heure.

Lire le billet complet pour tout savoir sur cette coutume inusitée ici

1

Le marché local de Tomohon

…. ou film d’horreur c’est selon! Que d’émotions nous avons vécues en nous rendant au marché local de Tomohon en Indonésie ! Vous savez que dans cette région du monde on mange à peu près tout ce qui bouge et respire, chez les animaux bien sûr! C’est leur réalité et pour eux il n’y a rien d’anormal, ce qui n’est pas le cas pour nous Occidentaux. Alors coeurs sensibles, attention ! Au menu, fruits et légumes, poissons, porcs, chauve-souris, serpents, rats, chiens, chats, etc.;-) Vous avez droit aux photos couleurs cette fois-ci contrairement à celles que nous avions utilisées dans notre billet d’origine.

Lire le billet complet ici.

Et voilà pour ce deuxième billet thématique de Nos tops... Espérons qu’il vous a plu et qu’il vous a incité à lire ou à relire certains billets de notre blogue. À tout le moins, nous souhaitons que tous ces us et coutumes inusités aient suscité de la curiosité et vous donnent le goût de partir en voyage et de visiter l’ailleurs. Par ailleurs, nous nous doutons que certains sujets abordés dans ce billet ont certainement provoqué quelques émotions, aussi nous sommes curieux de savoir lequel ou lesquels vous ont interpelé ou étonné le plus.

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10 commentaires sur “Nos tops 15… des curiosités

  1. Belle rétro ces tops ! Le monde est incroyable ! Même si j’ai parcourue vos histoires tout au long de vos voyages, c’est toujours surprenant de voir et connaître les us et coutumes des peuples de notre monde si près et si loin de nous occidentaux . On a peine à croire que ce sont des réalités de leur quotidien… Bravo pour ce grand tour , j’adore.
    J’ai hâte de voir et lire vos autres tops… bises à vous .

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  2. Wow !! Ces 15 curiosités sont étonnantes. Je compatis pour le dur labeur des cueilleurs de souffre et de tanneurs de cuir. J’ai été impressionnée par l’ingéniosité ou l’absence totale de la notion de danger. Je dois avouer que le Temple dédié au rats m’a fait un peu froid dans le dos. Il faut être téméraire pour y marcher pieds nus., Le balut et le marché local de Tomohon sont venus me chercher au niveau digestif 🙂 moi qui est une amoureuse des animaux. Finalement, ce qui en ressort , c’est qu’on ne peut pas porter de jugement sur ces cultures. Tous vos billets font preuve de la grande préparation apportée à tous vos voyages, à l’ouverture d’esprit dont vous avez fait preuve . Les informations sont toujours pertinentes et bien documentées . Un travail de pros.

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    1. Je te confirme, ce n’est pas évident d’entrer dans le Temple aux rats, du moins ce fut mon cas. J’ai dû prendre quelques minutes avant de le pouvoir. Je me souviens d’ailleurs qu’il y avait entre autres, une famille indienne avec une adolescente qui capotait complètement. Sa mère la traînait de force et elle sursautait chaque fois qu’il y avait un rat qui passait près d’elle. C’était assez rigolo de la voir, mais en fin de compte je devais lui ressembler un peu dans mes réactions lol. Quant au balut, nous n’avons pas été capable de goûter et nous sommes repartis du marché de Tomohon assez retournés. Il y avait du sang partout et les animaux… surtout les chiens que l’on voyait vivants dans les cages, c’était d’une tristesse de les voir trembler parce qu’ils savaient par instinct le sort qui leur était réservé. Mais bon, comme on dit, c’est peut-être horrible pour nous, mais c’est une question de survie pour ces gens.

      Encore une fois, un grand merci pour ton commentaire ça nous touche vraiment!

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  3. En effet, on est à mille lieux de ces us et coutumes mais comme il est intéressant de découvrir tout çà grâce à vos beaux commentaires et vos superbes photos. J’éprouverais certaines difficultés dans les marchés d’animaux c’est certain…mais voilà on es différents c’est tout! il n’y a pas de mal ou de bien. Bravo pour tous ces billets qui sont hyper intéressants, bien documentés et agréables à lire. La cérémonie de fermeture de la frontière Inde-Pakistan m’a bien fait amusée et je ne la connaissais pas. Merci gros gros!!

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    1. Et nous, on a encore le sourire chaque fois qu’on repense à cette cérémonie des plus amusantes. On a tellement aimé cette partie de l’Inde, ce fut un de nos coups de coeur dans ce pays.

      Quant au marchés d’animaux, je te garantis que ce n’est pas une sinécure, impossible de rester indifférent. Jean-Pierre a démissionné avant moi, il n’en pouvait plus. C’est difficile à expliquer, mais je crois que le fait d’être derrière la caméra crée comme une séparation ou une distance par rapport aux choses qui se passent en réalité. Et c’est comme ça que je me sentais dans le marché même les odeurs me semblaient plus irréelles qu’à l’inverse.

      Mais, après coup, et quand je revois mes photos, tout ça revient, je peux presque sentir les odeurs et les images sont bien vivantes dans ma tête.

      Un grand merci Renée pour tous tes commentaires, nous apprécions beaucoup. Au plaisir!

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  4. Super idée de top ! Je vous la piquerai peut être un jour 😜. J’ai vu quelques unes de ces curiosités, je me souviens m’être pesée sur un marché au Népal, le vendeur était très surpris qu une touriste face appel à ces services, je suis montée sur la balance et tout le monde autour s’est arrêté de vivre quelques instants pour voir le résultat, puis ils ont tous mis le pouce en l’air en disant: good ! Hi hi c’était un bon souvenir !

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    1. J’ai voulu aussi me faire peser en Inde, mais je ne sais trop pourquoi je ne l’ai pas fait. Tant pis, ça m’aurait certainement fait un bon souvenir à moi aussi. Merci pour ton commentaire et j’ai bien hâte de connaître tes curiosités 😉

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  5. Je suis chaque fois étonné par vos photos et tout ce que vous avez vécu et vu. je vous envie et vous remerçie pour ces moment de rève, continuez à nous enchanter, je suis assidument Gerard et Sophie « emmenez nous au bout de la terre » que vous avez rencontré je crois

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    1. Merci Christian! On s’étonne parfois nous-mêmes en préparant ces rubriques et revoyant les photos ;-). On est souvent très loin de notre réalité, mais c’est ce que fait la beauté du voyage. Le dépaysement et le wow!

      Quant à Sophie et Gérard, nous ne les connaissons que par nos échanges sur nos blogues respectifs. Nous avons certainement plusieurs affinités avec eux et nos chemins se croiseront peut-être un jour, car le monde est si petit malgré sa grande diversité.

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