Mont-Riding, Péninsule Bruce, chutes Niagara et Sandbanks, du Manitoba au Québec en passant par l’Ontario y’a de quoi y faire!

De l’Alberta à Petite-Rivière-Saint-François, du 27 septembre au 12 octobre 2021

La dernière fois que nous avons publié, c’était avant les Fêtes. Nous avons vécu un dur moment du point de vue personnel qui fait en sorte que nous n’avions, ni le temps ni l’énergie pour achever notre récit. Alors, on se reprend tout d’abord en vous souhaitant une excellente année 2022 avec de la santé surtout, mais aussi avec plusieurs voyages enlevants et mémorables. Pour notre part, nous commençons déjà ou plutôt devrions-nous dire, nous continuons à rêver de notre prochaine destination.

Or, avant de repartir, terminons ce qui a été commencé et finissons l’épopée de notre périple dans l’Ouest canadien.

Nous avons quitté le 27 septembre l’Alberta et son Parc provincial des Dinosaures, cette terre aride pour nous diriger vers l’est avec l’objectif d’arrêter quelques jours au Parc national du Mont-Riding au Manitoba. 

Après plus de 500 km d’autoroute, nous faisons halte au River Park à Moose Jaw en Saskatchewan pour une nuit. Nous nous étions arrêtés à cet endroit lors de notre passage au début de septembre. Toujours aussi agréable et peu achalandé. 

Puis, 450 km plus loin, nous voilà au Parc national du Mont-Riding, situé à 260 km au nord-ouest de Winnipeg. Créé vers 1930, il compte environ 3000 km carrés de forêts, de lacs et de rivières, il est reconnu depuis 1986 comme réserve de la biosphère de l’UNESCO.  

Les campings se trouvent à l’entrée sud du parc tout près de la petite ville touristique de Wasagaming qui borde le très beau lac de Clear Lake. On dit «petite ville», c’est un peu forcé, car Wasagaming ne compte que 33 résidents à longueur d’année (donnée de 2011), principalement des employés de Parc Canada. C’est très joli avec de nombreux bâtiments en bois rond, de grands arbres matures, des parcs et ce lac. Elle compte aussi plusieurs boutiques de souvenirs et quelques restaurants. Comme c’est la fin septembre, la plupart des installations touristiques sont fermées bien qu’il y ait encore pas mal de visiteurs. Nous avons parcouru le coin en vélo depuis le camping et ce fut une très belle balade. 

Les paysages du parc sont vallonnés et constitués de forêts et de lacs pas tellement différents des nôtres de sorte qu’on s’est vite contentés et qu’on est toujours à la recherche du wow! Les employés du parc (service en français svp) nous donnent le coup d’éclat : une réserve de bisons (prononcé à l’américain avec le «s» bien sûr, c’est encore plus cool, bizones) à une trentaine de kilomètres au nord. Aussitôt informés, aussitôt partis vers les bizones! Après avoir raté notre chance au Parc national des Prairies, on se croise les doigts pour une belle rencontre. Un premier arrêt à une tour d’observation, rien à l’horizon! Un peu débinés et pessimistes, nous croyons que notre chien est mort. Mais quelques kilomètres plus loin, que ne voyons-nous pas en plein milieu de la route… Le troupeau de bizones. Ils ne sont pas très nerveux et on y passe plus d’une heure à les regarder, à les étudier et, évidemment, à les photographier… 

Mais pourquoi des bisons dans ce parc du Manitoba ?

En fait, la plaine du lac Audy a été choisie pour son écosystème des prairies sain et parce qu’on y a trouvé des ossements de bisons et des traces indiquant que cette région faisait partie de l’aire de répartition historique du bison avant sa presque disparition dans tout l’Ouest canadien. Sa réintroduction, commencée au début des années 1900, constitue une étape du processus de réhabilitation et de protection de l’écosystème des prairies. Pour l’instant, un troupeau d’une quarantaine de têtes est gardé en captivité dans l’enclos du lac Audy, soit le maximum que l’environnement naturel peut nourrir.

Nous savons que les gens de Parcs Canada accomplissent pleinement leurs responsabilités et qu’ils mettent tout en œuvre pour que les animaux vivent en bonne santé (contrôle des maladies et des zones de pâturage, suivis des déplacements, séparation des mâles pour la génétique, etc.). C’est pourquoi l’enclos qui couvre plus ou moins 500 hectares a été construit de manière à ne pas nuire à la faune naturelle du parc. Ainsi, on y trouve à plusieurs endroits des «sauts» (sections plus basses) et des «trous» (creusés sous la clôture). Les cerfs et les wapitis empruntent les premiers alors que les mammifères comme les ours, les coyotes et les renards recourent aux seconds. 

Seuls les loups, principaux prédateurs du bison, n’aiment pas s’approcher de la clôture et ne la traversent que très rarement! Bizarre n’est-ce pas! Or, ce sont eux qui, normalement, régulent le nombre de bisons en tuant les plus vieux et les plus malades. Faute de loups, les gens de Parcs Canada doivent capturer et donner ou vendre (à d’autres parcs) un certain nombre d’animaux afin de limiter la grandeur du troupeau. Ils espèrent être en mesure de construire un jour une clôture qui n’effraiera plus les loups. Enfin, plusieurs recherches sont menées dans le but d’assurer le développement et le bien-être de ces magnifiques et immenses animaux.  

Même si ce ne sont pas des bizones dans les badlands complètement libres, nous sommes à peu près contentés.

Nous pouvons maintenant repartir vers de nouvelles surprises!

Un premier arrêt à Dryden en Ontario (630 km) et ensuite au Garden Cove Beach de Marathon (Ontario) (640 km), un superbe beau spot sur le bord du lac Supérieur aménagé pour la mise à l’eau d’embarcations légères. 

Notre prochain objectif figure parmi les destinations de plus en plus en vogue pour les Québécois. C’est vraiment la curiosité et non des attentes qui nous conduit au Parc national de la Péninsule-Bruce, situé sur une pointe de terre en plein centre du lac Huron en Ontario. Pour nous y rendre, il faut parcourir environ 1200 km… à moins que… nous passions par l’île Manitoulin pour ensuite emprunter le traversier de South Baymouth au village de Tobermory pour une économie de plus de 400 km. Cependant, on doit payer grosso modo 120 $ CAN pour le bateau. L’un dans l’autre, c’est quasiment le même prix et cela constituerait une belle pause de conduite en plus de vivre une nouvelle expérience. Pourquoi pas? OK on réserve notre place! 

Nous roulons 600 km sur une magnifique route qui longe le lac Huron! Les arbres ayant revêtu leurs couleurs d’automne s’y réflètent et le résultat est extra. Par endroit son eau se pare de rouge, couleur dominante en toile de fond et sur le lac. Absolument splendide! On se dit que ce sera de toute beauté de l’autre côté. Nous nous arrêtons dans un camping à Serpent River (600 km) un peu avant la bifurcation vers l’île Manitoulin. L’île mesure 180 km de long par 50 km de large et compte moins de 15 000 habitants. 

Parvenus à South Baymouth, lieu de départ du traversier, on visite rapidement les boutiques tout en cherchant un endroit pour se restaurer. Comme on est en octobre n’est-ce pas, nous nous rabattons sur le maigre contenu du frigo.

La traversée de deux heures doit être magnifique en été! Le bateau bien aménagé offre un bon confort et nous en profitons pour relaxer un peu. 

Grosse déception à notre arrivée, la forêt de ce côté du lac n’étant composé que principalement de conifères, nous devrons nous contenter du vert terne de cette période de l’année. Et justement, le Parc national de la Péninsule-Bruce, a été instruit en 1987 afin de protéger ses forêts de cèdres constituant la dernière grande étendue boisée du sud-ouest de l’Ontario ainsi que les falaises de calcaire créées par l’escarpement du Niagara. Ce dernier, une formation géologique, part des chutes Niagara, contourne les Grands Lacs et vient se terminer au nord de Chicago. De plus, le parc avoisine le Parc national marin Fathom Five et on peut apercevoir son île (Flower Pot) et sa curiosité, soit une formation géologique en pot de fleurs (un peu comme celles du Parc national des îles Mingan). Nous passons donc notre chemin en ce qui concerne cette excursion. 

Les campings sont situés dans une forêt de cèdres immenses bien sûr de sorte que les terrains sont toujours très ombragés y régnant une humidité impressionnante, voire désagréable. Les espaces vraiment étroits ne permettent pas toujours à ceux qui en ont, de pouvoir ouvrir son extension latérale, comme ce fut le cas de notre voisin de terrain. Par contre, le parc est bien aménagé, il compte de nombreux beaux sentiers pédestres et les rives du lac Cyprus offrent un ensoleillement plus que bienvenue et des couchers du soleil de toute beauté.

Une petite visite au village de Tobermory s’impose. Son havre, en pleine zone urbaine, se rejoint facilement en marchant. 

Selon les informations recueillies, atteindre le littoral de la baie Géorgienne par son sentier Bruce qui donne accès à la Grotto, à l’anse Indian Head et à la falaise Natural Arch est le clou du parc. Et c’est vrai, c’est réellement beau avec ses nombreux escarpements et ses eaux bleues cristallines si rares au pays qui invitent à la baignade. Nous avons beaucoup aimé la morphologie du sentier et le fait d’avoir une vue sur le lac la plupart du temps.

Mais très sincèrement, même hors saison, il débordait de monde. C’est un peu ce à quoi nous nous attendions, alors pour nous qui aimons le calme en rando, nous n’osons imaginer la cohue en grande période.

Même si nous préférons les sentiers déserts, nous sommes heureux d’y avoir croisé une ancienne collègue de travail, que nous saluons particulièrement — désolés Sylvie-Anne, la photo de vous deux est complètement ratée ;-( — et avec qui nous avons parlé entre autres… des chutes Niagara puisqu’elle venait d’y séjourner avec son conjoint.

Tiens donc, c’est une idée ça! Ce n’était pas prévu, mais nous pourrions bien les imiter, juste pour voir ce «phénomène naturel» si connu et qui manque — peut-être — à notre culture ;-.

Pour terminer paisiblement la journée , nous nous rendons au Singing Sands, un rivage sablonneux servant d’habitat à de nombreuses espèces animales et végétales. L’endroit est désert, Dominique se balade sur le trottoir de bois aménagé au-dessus d’une tourbière à la recherche de bestioles volantes pendant que Jean-Pierre fait un roupillon sur le sable. C’est joli comme endroit.

Alors, après ce séjour de deux jours, en ce 6 octobre, nous mettons le cap vers les chutes Niagara à près de 400 km plus au sud.  

Arrivés à Niagara Falls, nous garons tuk-tuk au parking de la Tour Skylon, situé à dix minutes à pied des chutes tant réputées. C’est aussi là que nous passerons la nuit où nous partirons dans les bras de Morphée avec le vrombissement des chutes en bruit de fond. Le lendemain, nous ne serons que trois VR à y avoir dormi. Nous nous rendons donc à pied au site de ces fameuses chutes. C’est vrai que c’est magnifique! La promenade de pierres bien entretenue le long de la rivière permet d’admirer cette œuvre de la nature sous différents angles? Spectaculaires! Réellement!

Mais, faut bien qu’il y ait un hic! Nous ne pouvons en dire autant de la suite. Nous redescendons la promenade vers l’aval de la rivière et empruntons la première rue à gauche après le parc, Clifton Hill… Horreur! Vite, sauvons-nous de cet endroit! Nous n’avons jamais rien vu de plus kitch de toute notre vie! Des restaurants, que des fast food, des hôtels, des boutiques de souvenir made in China, des maisons des horreurs toutes avec des devantures les plus voyantes et horribles — dans le sens de laides et non effrayantes, voire effrayantes de laideur! — les unes que les autres en plus de la cacophonie de musique et des arcades! 

Nous avions des préjugés défavorables à l’égard de la destination Niagara et nous nous étions presque réconciliés. Alors là, ouf! Inutile de vous dire que nous ne nous éternisons pas. Nous reprenons la route en début d’après-midi pour notre prochaine découverte, le Parc provincial de Sandbanks situé sur la rive nord du lac Ontario, à environ 350 km. 

Ce parc, connu pour ses plages de sable et la plus grande formation de dunes et de bancs de sable en eau douce au monde, a été établi en 1970. Et depuis 2018, il serait devenu l’une des destinations touristiques préférées des Québécois. 

Qui dit plage de sable fin blond en bord de l’eau, dit soleil et vacances d’été! Étonnamment, même en ce début d’octobre, les emplacements de camping sont rares et la préposée du parc peine à nous trouver une place. Malgré tout, les plages sont quasi désertes et nous profitons bien du soleil et de notre séjour. C’est un très bel endroit, parfait pour les familles avec des enfants, mais est-ce qu’on y viendrait en saison? Heu! Pas certains! Simplement parce que l’unique attraction, la plage, ne correspond pas tout à fait à nos critères de voyages. Bref, pour une courte pause, nous apprécions cet arrêt malgré tout.

Dernier stop de ce périple débuté il y a huit semaines, Montréal et notre famille.

Comme il s’agit du long weekend de l’Action de grâces, il n’y avait plus de place au camping du Parc national des îles de Boucherville pour les deux premières journées de notre séjour. Nous avons donc opté pour le stationnement de VR du Parc nautique de Longueuil. Correct, sans plus compte tenu du prix et surtout du bruit de l’autoroute qui passe juste devant. Heureusement, nous avons pu retrouver notre spot au parc de Boucherville après deux nuits.

Après les visites aux enfants et à la famille et les achats pour la maison, nous reprenons notre chemin pour arriver dans notre chère Charlevoix le 12 octobre.

En tout, huit belles semaines de voyages et 13 739 km de plus au compteur. C’est notre deuxième roadtrip dans l’Ouest canadien et on y retournera éventuellement pour explorer le reste de la Colombie-Britannique, mais également pour d’autres superbes treks dans les Rocheuses.  

Sur ce, on vous souhaite une bonne fin d’hiver! Pour nous ce sera le ski et la luge au Massif de Charlevoix, la rando avec crampons ou en raquettes dans les sublimes parcs de la région, et on se redonne des nouvelles au début du printemps avec une nouvelle expédition. Vers Terre-Neuve ou vers l’Utah? On verra!

Fiche camping – bivouac

Saskatchewan, Moose Jaw, Wakamow Valley Parking  Sur iOverlander, , GPS : N 50o22.904′, W 105o31.391′. Stationnement dans un superbe parc entouré de végétation, sentiers de randos (le sentier Transcanadien Trail traverse le parc) et de vélos, tables de pique-nique. Très tranquille, nous y étions seuls pour la nuit.

Wakamow Valley Parking

Ontario, Garden Cove Beach de Marathon sur iOverlander GPS : N 48o45.99′, W 86o24.133′ très beau bivouac en bordure du lac Supérieur accessible par une petite route en gravier de 3 km très facile. Tranquille, plage et toilettes.

Garden Cove Beach

Ontario, Serpent River Campground 50 $CAN avec électricité et eau. Très bruyant sur le bord de l’autoroute, aucun arbre dans la section des non saisonniers. Piscine, buanderie, wifi. Nous n’avons pas aimé.

Serpent River Campground, section pour saisonniers

Parc national du Mont-Riding, camping du lac Cyprus – 28 $CAN sans service. Toilettes à chasse d’eau, terrain de jeux pour enfants et terrain de soccer. Longeant le grand lac Cyprus, très beau pour baignade, canot, vélo et balade autour du lac. Beaucoup d’emplacements très étroits (pas bon pour les VR avec slide out) et tous à l’ombre. Hyper humide, aucun rayon de soleil ne peut s’infiltrer.

Camping du lac Cyprus, Parc national du Mont-Riding

Ontario, Niagara Falls  — sur iOverlander, parking à côté de la Skylon Tower. (Contrairement à ce qui est indiqué sur l’application, aucun stationnement de nuit n’est permis à la Skylon Tower.) GPS : N 43o5.069′; W 79 o4.858′. Petit stationnement un peu sombre, mais on y a bien dormi et à moins de 10 minutes à pied des chutes.

Ontario, Parc provincial de Sandbanks, Outlet River Campground Immense camping divisé en 5 sections pour un total d’environ 900 terrains avec différents services. Nous avons payé 66 $CAN avec électricité et frais d’entrée du parc. Situé à 5 minutes à pied de la plage. Tous les services sont disponibles sur le camping, même la buanderie.

Longueuil, Marina de Longueuil 45 $CAN avec électricité. Les emplacements, près du fleuve, sont tous cordés les uns sur les autres. Très bruyant de jour comme de nuit à cause de l’autoroute 132 qui passe juste devant. Nous n’avons pas aimé malgré qu’il soit en bordure du fleuve.

Parc national des îles de Boucherville, île Molson, Halte pour VR   Au coût de 34,60 $ (38,10 les vendredis et samedi) pour deux services auquel il faut ajouter le droit d’accès quotidien au parc de 9 $/adultes à moins de posséder la carte annuelle de la Sépaq. C’est dispendieux, mais après tout, c’est à Montréal! Il est préférable de réserver les weekends.

Parc national des îles de Boucherville


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6 commentaires sur “Mont-Riding, Péninsule Bruce, chutes Niagara et Sandbanks, du Manitoba au Québec en passant par l’Ontario y’a de quoi y faire!

  1. Quand même, ce sont beaucoup de kilomètres! Mais avec de superbes paysages. De l’eau cristalline de Bruce en passant par les chutes du Niagara, il y a de petites merveilles qui valent le déplacement. Vous savez Niagara, je l’imaginais exactement comme vous le décrivez, des chutes exceptionnelles reconnus depuis des générations comme d’une beauté rare et une ville affreuse (bien dommage de gâcher la chose). En passant, les bisons sont magnifiques et ce doit être incroyable de les observer et ta mouette est très belle.

    Merci pour ce beau billet, il fait rêver de voyage…

    Aimé par 1 personne

    1. Salut Jo, oui nous aimons ça les km… ça vaut souvent le déplacement. Sinon, c’est toujours intéressant de connaître de nouveaux endroits peu importe si à la fin on aime ou pas tant. Nous n’avons pas été très surpris non plus de l’entourage des chutes, c’est ce à quoi on s’attendait, mais c’est à quelque part très gênant de penser que des touristes internationaux font de longs voyages pour voir ça… Quant aux bisons, ils sont effectivement impressionnants. On aurait tellement aimé les voir d’aussi près dans les badlands. Une autre fois peut-être. Grosse bise.

      Aimé par 1 personne

  2. Encore une fois Bravo pour ce billet !! Beau récit , belles photos( bizones, oiseaux, panoramas, couchers de soleil ect…) Le nom Serpent river m’a surprise …est-ce le mot français serpent non anglicisé ou une référence à une personne ou un endroit dont le nom anglais serait Serpent ??? Jean-Pierre as dû être étonné et honoré de voir une statue de bois à son effigie à Tobermory 🙂 Je suis allé à Niagara il y a plus de trente ans…une pure merveille cette chute mais en te lisant , je vois que le côté forain et quétaine des rues avoisinantes n’a pas changé. On avait pris le bateau Maid of the Mist , une belle expérience sauf si tu portes des lunettes hahaha. Au plaisir de lire vos prochains billets.

    Aimé par 1 personne

    1. Hahaha, il a fallu que nous retournions dans le billet pour voir la statut et comprendre le rapprochement lol. C’est le Capitaine JP… Faut dire qu’il est aussi souvent le capitaine du volant du VR, moi je suis occupée avec mon appareil photo… En tk, c’est bien dommage pour l’environnement des chutes Niagara et c’est tellement gênant par rapport aux touristes internationaux qui font de longs voyages pour voir les chutes. Bon week-end à toi!

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