Taratata, salar de Tara!

En arrivant à la réserve, on s’arrête aux Monjes (moines) de la Pacana, immenses monuments de pierre sculptée par le vent.

On s’avance ensuite tranquillement dans la réserve, mais Maps.me nous fait des conneries. D’abord, il nous indique que pour parcourir la trentaine de kilomètres qui nous séparent du salar, ça nous prendra près de quatre heures. Oups! Problèmes!

Ensuite, il change sans arrêt de direction pour finalement ne plus retrouver la piste. Nous sommes dans le sable, il n’est pas évident de s’y retrouver et surtout nous avons peur de nous enliser. Nous voulions suivre les autocars de touristes, mais les chauffeurs-guides n’aiment pas les touristes autonomes et ils s’organisent pour nous distancer afin qu’on ne puisse les suivre. Et c’est très facile, puisque nous sommes en voiture ordinaire sur une route impraticable. Zut et rezut! On abandonne avec regret et on rebrousse chemin encore une fois, tout comme une autre voiture de touristes. À croire que c’est plus prudent comme ça…

Mais, qu’à cela ne tienne! Nous passons quand même toute la journée dans la réserve autour de lacs et de points de vue magnifiques. Que demander de mieux!

Bien sûr, c’est malheureux de n’avoir pu nous rendre au salar de Tara, mais la réserve ne se limite pas au salar. Tout le parc est superbe. C’est un endroit fantastique pour piqueniquer, flâner, marcher et admirer les merveilles que la nature a à offrir. La Reserva Nacional Los Flamencos, ¡Que buenita! – Un autre coup de coeur pour nous.

Le prochain billet portera, devinez sur quoi, encore sur la région de San Pedro de Atacama, mais ce sera le dernier c’est promis.

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